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Restaurants

Manger américain à Nice … 50’s Happy Diner

6 avril 2012
Aujourd’hui, direction les USA via la mythique route 66 pour aller déguster un bon burger.  Ca fait un peu loin de chez nous me direz-vous. Sauf que je vous propose tout ça en restant à Nice.

Et oui il y a quelques mois a ouvert dans le centre de Nice le restaurant 50’s Happy Diner qui, le temps d’un repas, vous transporte dans l’Amérique des années 50.
J’ai testé et voici ce que ça donne:

Le cadre: FABULEUX !! C’est incontestablement le point fort de ce restaurant. Les banquettes en cuir flashy, les néons, la carrelage mosaïque noir et blanc, le juke-box qui alterne country et Elvis. Tout est assorti jusqu’ à l’uniforme de la serveuse et le téléphone.

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Culture & Évènements, Venez avec moi

Connaissez-vous … le pilou ?

2 avril 2012
Aujourd’hui, j’ai décidé de faire un saut dans le passé et de retourner au temps du collège (pour ma part) …En effet, on va parler pilou !!
Le pilou kesako, Un tissu ? La moitié de l’hymne du RCT? Un restaurant ?

Non rien de tout ça. Le pilou c’est  en fait un jeu de jonglage qui se pratique avec un volant. 

Loin d’être évident, il n’est pas question de jongler avec ses mains mais avec ses pieds, un peu à la manière des footballeurs. 


C’est un vieux jeu de rue typiquement niçois qui connait depuis quelques années un regain d’intérêt. Il est apparu au début du vingtième siècle à l’époque où les pièces de monnaie étaient trouées.
Tout a commencé avec un marin vénitien qui, de retour de Chine, fit lors d’une escale à Nice une démonstration de jeu de pied avec une pièce.
Un niçois a ensuite eu l’idée d’insérer un volant en papier dans sa pièce de monnaie et en deux temps trois mouvements le Pilou est né. 

C’est dans les années 50 que ce jeu connait sa plus grande gloire. Dans tous les quartiers de Nice, jeunes et moins jeunes s’adonnent à ce jonglage typiquement de chez nous. 
Hitchcock va même jusqu’à l’immortaliser dans son film « La main au collet ».
Puis plus rien, le Pilou s’essoufle et disparait. 


C’est en 1987 qu’il renait de ses cendres véhiculant une identité niçoise qui plait. Des tournois sont organisés puis les étudiants des facultés s’emparent du jeu et des terrains de pilou fleurissent un peu partout, que ce soit dans les écoles, sur les places de la ville etc…
Aujourd’hui, en sa balladant sur la Promenade des Anglais, vous pouvez apercevoir des terrains peints au sol comme c’est le cas notamment au niveau de la plage du forum.



Vous trouverez également un piloudrome sur la route du Mont-Boron qui vaut le détour rien que par la vue qu’il offre. 


Pour ce qui est des règles, très sommairement, deux équipes de deux s’affrontent. Les deux coéquipers jouent l’un en face de l’autre et doivent se passer le pilou en jonglant afin de l’envoyer dans le rond de l’adversaire. S’ils y parviennent, ils inscrivent alors un pilou et marquent un point.


Mais le mieux si voulez tout savoir et tout comprendre c’est encore de le voir jouer.
Et ça tombe bien puisque une Liga de pilou a été crée cet hiver et vous pouvez ainsi assister à des match tous les dimanche au piloudrome

Toutefois, si vous vous sentez déjà pro, je vous précise que le championnat du monde se déroule à chaque été non loin d’ici dans le village de Coaraze.


Plus d’info sur le site internet du pilou (oui oui je vous jure il existe !).

A bientôt 😉


Une niçoise
Venez avec moi

Ballade … à Villefranche sur mer

23 mars 2012
Ceux qui me suivent sur facebook ont pu avoir un avant-goût en début de semaine du petit billet qui suit. Un des endroits les plus magnifiques de notre département est sans nulle doute Villefranche sur mer et sa rade qui attire chaque année des millions de personnes. Et pour cause :




Villefranche sur mer est située entre Nice et Monaco. Avec une vieille ville datant  du XVII ème siècle, un petit port plein de charme, une rade connue dans le monde entier et une presqu’île de Saint Jean Cap Ferrat « au loin » dont la verdure (et ses villas) laisse rêveur, Villefranche est sans nul doute l’un des plus beaux endroits de la Côte d’Azur. 

A faire si vous êtes de passage, la vieille ville et sa rue Obscure quasiment souterraine, l’église Saint Michel de style baroque, le port de la Darse ainsi que celui de la Santé. 

Sans oublier la chapelle Cocteau et la citadelle. 

Bref, garez votre voiture et déambulez à pied. Mais une fois tout cela fait, prenez de la hauteur pour admirez la vue !! 

A l’abri des vents, la rade de Villefranche offre un mouillage idéal pour de nombreux bateaux. L’été les petits voiliers visibles sur ses photos sont remplacés par d’énormes paquebot de croisière rendant la rade un peu moins belle il faut bien l’avouer. C’est d’ailleurs aujourd’hui le premier port de croisière de France.
Mais nous le savons bien, nous devons partager nos joyaux lorsque l’été pointe le bout de son nez !! 

   
Puis finissez par un plongeon depuis la plage de la Darse faite de galets ou depuis les Marinières où le sable sera au rendez-vous.

Et pour ceux qui habitent dans le coin, a priori le week-end sera plutôt beau, si le coeur vous en dit !! Par contre, l’eau est à moins de 15° alors seulement pour les courageux.


Je vous souhaite à tous un excellent week-end. 

A bientôt 😉

Une niçoise
Les 5 questions à

5 questions à Felix kudelka

14 mars 2012
Bonjour à tous,
Aujourd’hui, j’ai souhaité poser « 5 questions à » Félix Kudelka, l’un des rédacteurs et administrateurs du blog La countea et de la page facebook Countea de Nissa, qui ont, tous deux vocation, à diffuser toutes les informations qui concernent le comté de Nice.
1. Depuis quand habites tu Nice ou sa région ?

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Les 5 questions à

5 questions à Nicolas BERGE des Satellites

6 mars 2012
Aujourd’hui je vous propose un nouveau type de billet, poser 5 questions sur Nice et sa région à l’un d’entre vous.
Mon premier cobaye s’appelle Nicolas Bergé et il est le créateur des Satellites, le premier espace de coworwing de la Côte d’azur.
1. Depuis quand habites-tu Nice ou sa région ?
Depuis toujours. 25 ans précisément. Je suis né à Cannes, ai grandi à Mougins puis au Cannet et vis depuis peu à Nice à la frontière entre les quartiers Riquier et Saint-Roch. Je me souviens que lors de mon enfance, entre Mougins et Le Cannet, je me représentais Nice comme une ville infinie entre la mer et la montagne, toujours plus grande.
La ville, avec son enchantement, ses lumières et son imaginaire qui gravent les mémoires des plus jeunes. Tout, d’ailleurs, a contribué à façonner cette image de ville insaisissable et magique : je m’y rendais rarement, uniquement lors des grands événements, Carnaval en tête (et Dieu sait ce qu’un Carnaval peut dire aux enfants), soirées de l’Observatoire (j’étais et suis passionné d’astronomie – sans doute le lien avec Les Satellites), rencontres de football au Stade du Ray, expositions aux différents musées de la ville.
Et puis, chaque fin de semaine, avant de me rendre dans ma station de ski, je touchais de près, en voiture, les abords de Nice. Oui, tout donc a contribué, lors de mon enfance, à faire de Nice un mélange subtile d’éloignement et d’émerveillement satisfaisant toujours ma curiosité.
Aujourd’hui, je sais que Nice est une ville à, sans cesse, découvrir. J’en apprends tous les jours.
2. Un coin préféré ?
Sans aucune hésitation, la place Garibaldi.
Quel nom, tout d’abord : les sons se suivent et se répètent harmonieusement. GA-RI-BA-LDI. Et puis quelle place !
J’y arrive toujours par la Rue Bonaparte, étroite, et par ce magasin de pianos, pour à chaque fois être surpris par l’immensité de l’endroit et cette musique qui lui est propre. Cette sensation fonctionne à chaque fois et je ne m’en lasse pas. J’y vais prendre le soleil entre midi et deux heures avec les membres des Satellites. C’est un magnifique lieu de partage et de rencontre également.
3. Une spécialité niçoise adorée ?
Oui, le Pan-Bagnat. Ne m’en voulez pas, être entrepreneur commence par faire une croix sur les longs déjeuners, mais qui n’en sont pas moins traditionnels. Tout y est.
Mais rares sont les vendeurs sachant l’emballer. La meilleure méthode reste le journal : un Nice-Matin de préférence… absorbant parfaitement l’huile. Pain baigné au journal, c’est parfait.
4. Un mot/expression favori en Nissart ?
Nissa La Bella et le poème qui l’accompagne. Je dis poème car j’ai entendu pour la première cette chanson lue par ma grand-mère. C’est un beau poème revenant à l’éloignement et l’émerveillement de mon enfance.
Viva, viva, Nissa la Bella !
5. Un truc à dire aux lecteurs de Journal d’une Niçoise ?
Tout à fait. Qui peut trouver un stratagème pour nous révéler qui se cache dernière « Une Niçoise ».
Peut-être un jour se prêtera-t-elle au jeu du billet « 5 questions à… ».
(NDLR: Un jour peut être je m’y collerais…)
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Un grand merci à Nicolas qui a gentiment accepté de se prêter au jeu et un grand coup de chapeau puisqu’il s’agit d’un tout jeune entrepreneur niçois.
Comme je vous le disais au début de ce billet, Les Satellites ont été créées en Novembre dernier et constituent un espace de coworking et de télétravail où la collaboration, la convivialité, les échanges et les opportunités sont prisées.
Inspiré de ce qui se pratique dans la Silicon Valley, Les Satellites accueillent indépendants, entrepreneurs, salariés et étudiants dans un lieu où l’innovation et l’apprentissage sont accélérés. Bref, une expérience de travail inédite afin d’éviter de travailler à son domicile ou d’effecteur des trajets trop importants entre son chez-soit et son lieu de travail.
Si vous voulez en savoir plus:
Une adresse : rue du Congrès – 06000 NICE
A bientôt 😉
Une niçoise